L’effet Zeigarnik : quand on ne finit pas ce qu’on commence
Qu’il s’agisse de courses à faire, d’un dossier non terminé au travail, ou encore d’un coup de fil à passer avant la fin de la semaine, certaines pensées accaparent notre attention à intervalles réguliers, jusqu’à ce que l’on daigne agir. Tant qu’on ne termine pas ce qu’on a commencé, notre cerveau ne se lasse pas de nous le rappeler. On appelle cela l’effet Zeigarnik. Et si cela peut être irritant...