Le nombre de choix qui nous est offert aujourd’hui grandit sans cesse. Qu’il s’agisse de la destination de vos prochaines vacances, de votre nouveau téléviseur, des activités de loisirs, ou encore de la manière de faire des rencontres, les possibilités ne manquent pas. Malheureusement, cette augmentation de notre autonomie et de nos libertés n’a pas que des conséquences positives. Au-delà d’un certain seuil, avoir plus de choix devient contre-productif.

Pour bien comprendre ce qu’on appelle le “paradoxe du choix”, mais surtout comment y remédier en prenant des décisions de manière plus efficace et épanouissante, des études scientifiques sur le sujet et des pistes de travail sont proposées dans cet épisode du podcast.

Si vous souhaitez en savoir plus sur l’impact qu’a l’abondance de choix sur notre quotidien, je vous invite à écouter cet épisode.

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Mentionné dans l’émission

Le livre de référence sur le sujet (en anglais) de Barry Schwartz : Le paradoxe du choix

Les expériences avec les variétés de chocolat et de confiture sont détaillées dans l’article de Iyengar et Lepper (voir les références ci-dessous).

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Références

• Baumeister, R. F., Masicampo, E. J., & DeWall, C. N. (2009). Prosocial Benefits of Feeling Free : Disbelief in Free Will Increases Aggression and Reduces Helpfulness. Personality and Social Psychology Bulletin, 35(2), 260‑268. https://doi.org/10.1177/0146167208327217
• Baumeister, R. F., & Monroe, A. E. (2014). Recent Research on Free Will. In Advances in Experimental Social Psychology (Vol. 50, p. 1‑52). Elsevier. https://doi.org/10.1016/B978-0-12-800284-1.00001-1
• Baumeister, R. F., & Tierney, J. (2017). Le pouvoir de la volonté : la nouvelle science du self-contrôle. Clé des champs.
• Chernev, A., Böckenholt, U., & Goodman, J. (2015). Choice overload : A conceptual review and meta-analysis. Journal of Consumer Psychology, 25(2), 333‑358. https://doi.org/10.1016/j.jcps.2014.08.002
• Feldman, G., Chandrashekar, S. P., & Wong, K. F. E. (2016). The freedom to excel : Belief in free will predicts better academic performance. Personality and Individual Differences, 90, 377‑383. https://doi.org/10.1016/j.paid.2015.11.043
• Iyengar, S. S., & Lepper, M. R. (2000). When choice is demotivating : Can one desire too much of a good thing? Journal of Personality and Social Psychology, 79(6), 995‑1006. https://doi.org/10.1037/0022-3514.79.6.995
• Roets, A., Schwartz, B., & Guan, Y. (2012). The tyranny of choice : A cross-cultural investigation of maximizing-satisficing effetcs on well-being. Judgment and Decision Making, 7(6), 689‑704.
• Schwartz, B. (2000). Self-determination : The tyranny of freedom. American Psychologist, 55(1), 79‑88. https://doi.org/10.1037/0003-066X.55.1.79
• Schwartz, B. (2007). The paradox of choice : Why more is less (Reissued). Harper Perennial.
• Schwartz, B. (2015). The Paradox of Choice. In S. Joseph (Éd.), Positive Psychology in Practice (p. 121‑138). John Wiley & Sons, Inc. https://doi.org/10.1002/9781118996874.ch8
• Schwartz, B., Ward, A., Monterosso, J., Lyubomirsky, S., White, K., & Lehman, D. R. (2002). Maximizing versus satisficing : Happiness is a matter of choice. Journal of Personality and Social Psychology, 83(5), 1178‑1197. https://doi.org/10.1037//0022-3514.83.5.1178

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