Nos semaines sont de plus en plus rythmées, saccadées. Au cours même d’une journée, on peut passer d’une du travail aux loisirs, de la famille au travail, d’une mission à une autre… Dans certaines professions les attentes se multiplient et se diversifient. Pour les slasheurs, de plus en plus nombreux, la vie active est partagée entre plusieurs jobs. Ces derniers cumulent alors les activités aux exigences, terrains et objectifs différents. Quel que soit le secteur, la vie professionnelle est de moins en moins monolithique.
Dans un temps qui semble se réduire, nous avons donc de plus en plus de rôles et d’objectifs à tenir. Et comme nous considérons à juste titre que la vie professionnelle ne doit pas se faire au détriment de la vie personnelle, il faut devient impératif de savoir jongler entre ces différents rôles.
L’aspect exigent, voire chronophage, de cette vie plus morcelée réside dans les transitions entre nos différents “rôles”. On peut ainsi avoir du mal à se remettre au travail le lundi matin après un week-end en famille. On peut également éprouver des difficultés à passer d’un rôle de formateur à celui de comptable de sa micro-entreprise.
Il semble donc intéressant de chercher à mieux comprendre les problèmes que peuvent poser ses transitions. Ceci nous permettra alors de formuler des pistes pour y remédier !
Le problème des frontières floues
Contrairement à ce qui se passait il y a encore quelques décennies, la frontière entre le travail et la vie privée n’est plus aussi claire qu’auparavant. Avec l’avènement d’Internet et l’hyperconnexion qui en a découlé, il devient parfois difficile de se détacher du travail en rentrant chez soi. On revérifie ses mails, on réfléchit aux dossiers en cours, on s’inquiète des deadlines à respecter. Le travail envahit alors le temps “privé”, même quand on ne travaille pas sur le dossier de sa carrière.
Le conseil qui est généralement prodigué dans ce cas est de mettre en place une déconnexion forcée du travail. Cela passe d’abord par le fait de ne pas ouvrir sa boîte mail professionnelle et de couper toutes les notifications liées au travail. En contrepartie, il devient alors possible (et conseillé) de s’immerger dans d’autres activités, seul, en famille ou entre amis. Ces activités peuvent être de simples conversations ou encore le fait de s’adonner à des passions ou à des hobbies. Cela n’est cependant pas toujours aisé à mettre en œuvre.
Pour ceux qui réussiraient avec brio cette déconnexion, ne serait-ce qu’en fin de semaine, le problème inverse peut se poser. On peut ainsi avoir du mal à se remettre “en mode” travail, et l’efficacité s’en ressent. Et pour ceux, de plus en plus nombreux, qui travaillent de chez eux à temps complet ou partiel, le sujet des frontières floues prend encore plus d’importance !
Ce que la recherche nous apprend sur le sujet
Depuis une dizaine d’années, la recherche scientifique a très bien identifié ce problème et s’y intéresse sérieusement. Dès que l’on cherche à atteindre des objectifs, le fait d’être parfaitement connecté à ces derniers devient essentiel. Et même pour ceux qui cherchent à se déconnecter du travail, cela a de l’importance. En effet, pour se déconnecter du travail, il faut déjà y être correctement connecté pendant la journée.
La reconnexion au travail est la reconstruction d’une connexion mentale à son propre travail après une période de non travail. Cette reconnexion signifie qu’on pense à la journée de travail qui va commencer et qu’on s’y prépare mentalement. On se réaligne avec ses rôles professionnels et on recentre son attention. Cela doit bien évidemment se passer avant même de commencer toute tâche professionnelle.
Reconnexion et implication au travail
Mais quels sont exactement les effets de cette reconnexion ? Une récente publication1 suggère que les gens qui se sont préparés mentalement pour la journée de travail à venir ont une meilleure expérience au travail. Cela s’explique par le fait qu’ils commencent leur journée en se connectant à leurs objectifs professionnels.
Dans cette étude, les chercheurs ont plus exactement suivi 151 personnes de professions diverses. Ils leur ont envoyé des questionnaires par e-mail chaque jour pendant une semaine. Un premier questionnaire, à remplir le matin avant d’arriver au travail, permettait d’identifier les éléments suivants :
- le niveau de reconnexion au travail
- le niveau d’énergie ressentie pour poursuivre les objectifs professionnels
- l’enthousiasme et l’inspiration pour la journée à venir
- la capacité de concentration pour les tâches professionnelles (estimée par les participants)
Un deuxième questionnaire complétait l’investigation en fin de journée. Dans ce dernier, on demandait aux professionnels :
- S’ils se sentaient soutenus par leurs collègues (et à quel point)
- D’évaluer leur autonomie concernant leurs prises de décisions au travail
- D’évaluer leur niveau d’implication au travail
Les bénéfices d’une bonne reconnexion à ses objectifs professionnels
Les résultats de cette étude1 montrent clairement un bénéfice pour les personnes qui se reconnectent facilement à leur travail en début de journée. Ces derniers enchaînent les expériences positives jusqu’au soir. Les chercheurs supposent que le fait de prendre le temps de se reconnecter au travail aide à faire ressortir nos objectifs professionnels. Ceci constitue alors une source d’énergie pour se concentrer. Quand nous réfléchissons à la manière d’atteindre nos objectifs, nous devenons plus conscient de notre capacité à les accomplir, et des ressources et personnes à notre disposition pour nous aider.
Ainsi, quand une personne s’est mieux reconnectée à son travail le matin, elle :
- est plus concentrée
- a plus d’émotions positives
- reçoit plus de soutien social
- ressent un plus grand contrôle dans son travail grâce à l’activation matinale de buts liés au travail
- est plus impliquée
- est plus performante
- augmente son bien-être
Mais attention, cette reconnexion varie d’un jour à l’autre. Et pour les personnes ayant tendance à ressentir plus d’affects négatifs d’une manière générale, l’effet positif de la reconnexion est moindre.
La reconnexion pour plus d’engagement et de productivité
La reconnexion permettrait donc de plus s’engager dans son travail. L’engagement personnel représente un état dans lequel un professionnel implique son “moi” dans ses rôles professionnels. Cela signifie qu’il investit de l’énergie personnelle et fait l’expérience d’une connexion émotionnelle avec son travail. L’engagement au travail est donc un concept motivationnel qui représente une attribution active de ressources personnelles à des tâches associées à un rôle professionnel. Ces ressources sont multiples : physiques, émotionnelles et cognitives. Cet engagement est relativement stable et durable, mais peut bien sûr varier dans le temps.
De manière assez évidente, la recherche a montré que l’implication dans le travail est fortement liée à la performance au travail2. Il est néanmoins important de souligner le fait que l’implication au travail est indépendante de la satisfaction au travail ou de la valeur qu’on attribue à son organisation. Si ces deux autres dimensions jouent aussi un rôle sur les performances, c’est bien l’implication qui a le plus d’impact dans ce domaine. L’implication a également des bénéfices secondaires puisqu’elle permet de dégager du temps et des marges pour socialiser, aider ses collègues, améliorer son organisation, se former, etc.
Lorsque tout le monde est plus impliqué, c’est toute l’organisation et tous ses membres qui en bénéficient. Il est donc essentiel d’aider les professionnels à s’impliquer dans leur quotidien en créant un contexte qui permette à chacun de trouver plus de sens au travail.
Réintroduire du sens au travail
Ceci nous amène à cette dimension plus que jamais d’actualité. Le travail a un sens pour un professionnel quand les objectifs de son emploi sont alignés avec ses propres idéaux et standards. Et le fait d’attribuer un sens à son travail dépend de l’interprétation subjective plus que d’une réalité objective. Quand une personne ne trouve pas de sens à son travail, toutes les démarches focalisées sur la bonne ambiance et l’embauche d’un (très tendance) “happiness manager” seront vaines. Si le sens est absent, les politiques qu’on peut parfois qualifier de “happiness washing” (dans le même sens que le “green washing”) peuvent se retourner contre ceux qui les mettent en place.
La recherche souligne que le sens au travail est essentiel3, et est même placé avant les revenus, la sécurité de l’emploi, les promotions et les heures de travail par certains employés. Il a un impact fort sur la motivation, le bien-être et la performance. Le sens au travail augmente l’implication, et l’utilisation de ses propres forces au travail, ce qui augmente les performances3. À l’inverse, l’absence de sens aboutit au désengagement et à un sentiment d’aliénation.
Se reconnecter en façonnant ses missions et l’organisation de son travail
Les travaux scientifiques montrent par ailleurs que le sens au travail est lié au sentiment d’autonomie. Il est donc essentiel que chacun dispose de marges de manœuvre dans la manière dont il réalise les différentes tâches qui lui incombent. C’est ce qu’on appelle le “job crafting” . Ce terme correspond au fait de créer ou d’initier des changements dans son travail, plutôt que de subir ou de réagir. Ces changements peuvent autant être physiques, que cognitifs ou relationnels. Il s’agit d’être proactif, ne serait-ce que pour certaines tâches ou pour la gestion des relations avec ses collègues. Quand on est proactif, on redéfinit mentalement les limites et la portée d’une tâche pour lui réattribuer un sens. Quelle que soit le domaine, on dispose toujours d’une certaine latitude, même minime dans la manière dont on exerce son travail. Et c’est essentiel.
Ce degré d’autonomie dans l’exercice de son métier est important car il a de nombreux effets positifs. Il a en effet des conséquences sur le bien-être, l’implication dans le travail et la performance4. Il permet de trouver un véritable sens au travail.
Se déconnecter pour mieux se reconnecter
Se reconnecter à son travail, c’est donc renouveler le sens qu’on lui donne et se réapproprier les marges de manœuvre dont on dispose. Tout ceci permet d’être plus efficace et plus heureux au travail. Mais, comme je l’ai précisé au début de cet article, il faut s’être déconnecté pour pouvoir se reconnecter. L’absence de déconnexion et la demande de disponibilité croissante des employés ont ainsi logiquement des conséquences sur leur bien-être et leur performance au travail5.
Cette déconnexion, ou “détachement psychologique“, correspond à la sensation d’être éloigné des situations de travail. Cela recouvre à la fois le fait de prendre de la distance vis-à-vis des demandes liées au travail, mais aussi des pensées et actions qui y sont associées.
À quel point faut-il séparer le travail de la vie personnelle ?
Nous l’avons vu, une déconnexion faible brouille la frontière entre les rôles et les temps professionnels et personnels, et cela a des conséquences fâcheuses. Néanmoins, un détachement très élevé va à l’inverse rendre ces domaines de vie tellement hermétiques que les transitions entre ceux-ci peuvent devenir très ardues.
Une étude ayant suivi 107 employés5 a montré toute la subtilité de ce phénomène. Dans ce travail, les chercheurs évaluaient la déconnexion, l’épuisement émotionnel, et la satisfaction dans la vie par des échelles d’autoévaluation validées. En parallèle, la performance et les comportements proactifs au travail étaient évalués par des collègues de travail via d’autres échelles.
Les résultats indiquent tout d’abord que le détachement psychologique prédit le bien-être des employés. Plus les individus étaient capables de se déconnecter du travail, plus ils étaient satisfaits dans la vie et moins ils risquaient l’épuisement émotionnel.
En revanche, la relation entre détachement psychologique et performance au travail n’est pas linéaire. Pour faire simple, si on est très déconnecté de son travail d’une manière générale ou qu’on est au contraire trop investi dans celui-ci, les performances s’en ressentent. Les individus présentant des niveaux moyens de détachement avaient quant à eux les plus hautes performances au travail. Ainsi, quand on s’intéresse au lien entre vie professionnelle et vie personnelle, les frontières imperméables ou le mélange complet des genres ne sont donc pas souhaitables. Celui qui pense être plus “pro” en étant focalisé sur son travail se trompe donc lourdement, et perd sur tous les tableaux.
La reconnexion au travail : trouver du sens et reprendre les rênes
Vous l’aurez compris, il est important d’établir des frontières et d’aménager des transitions entre les différents domaines de vie. Cela permet à la fois de se sentir mieux, mais aussi d’être plus impliqué et plus efficace. Mettre en place un temps de reconnexion au travail, c’est réfléchir à son engagement, au sens qu’on donne à ses missions et à la manière dont on se l’approprie en l’organisant. Mais pour ce faire, il faut avoir suffisamment rechargé les batteries pendant les périodes de vie privée, grâce à un détachement psychologique bien dosé.
Mais attention, tout ceci ne signifie pas que tout est toujours sous notre contrôle. Beaucoup de facteurs nous échappent, comme par exemple l’environnement de travail ou la personnalité de nos collègues, qui jouent un rôle évident dans notre implication. Néanmoins le fait de se reconnecter au travail est quelque chose de simple que nous pouvons pratiquer n’importe quel matin pour bien commencer la journée. Voyons désormais comment.
Comment se reconnecter à son travail ?
Prendre le temps de se remettre en phase avec son travail est donc important. Non seulement pour être plus productif, mais aussi pour être plus épanoui. Bien se connecter au travail en début de journée permet également de plus facilement se déconnecter en fin de journée. C’est donc une démarche bénéfique du point de vue de la vie professionnelle et personnelle.
Quand mettre en place une session de reconnexion ?
L’idéal est de faire ce travail de réflexion avant d’arriver sur son lieu de travail. On peut aisément tirer profit du temps de transport, juste après avoir quitté son logement. Si cela s’avère difficile pour des raisons pratiques, on pourra simplement prendre un moment en arrivant au bureau pour pratiquer la reconnexion.
Comment procéder ?
En s’appuyant sur la recherche, on peut lister un certain nombre de questions simples qui permettent de se reconnecter à son travail. N’hésitez pas à réfléchir à celles-ci quotidiennement, voire à coucher vos réponses sur le papier quand vous êtes prêt à vous reconnecter à votre travail.
1. Pourquoi le travail que je fais a du sens pour moi ? De quelles manières mon travail a-t-il des répercussions sur la vie des autres ?
Ce questionnement permet de se connecter à ses objectifs professionnels et de générer de la motivation. Pour certains, les réponses seront évidentes, pour d’autres, ce sera sans doute plus difficile. La réponse peut également varier d’un jour à l’autre, en fonction des tâches à effectuer. Vous n’êtes cependant pas obligé de répondre directement à ces questions. Réfléchir au sens de notre travail et l’identifier peut au contraire devenir un des objectifs de la journée.
2. Qui sont les personnes, autant au travail que dans ma vie personnelle, qui me soutiennent et permettent ma réussite professionnelle ?
On se sent parfois isolé et dépassé par notre job et nos responsabilités. Dans ces cas-là, penser aux personnes qui nous soutiennent peut augmenter notre confiance en nos capacités et soulager notre stress6. On peut par exemple penser au collègue qui nous aide à améliorer nos idées ou à un ami qui est sincèrement content de notre réussite.
3. Sur quoi ai-je envie de me concentrer aujourd’hui ?
L’idée est ici de réfléchir à un objectif ou à une tâche qu’on aimerait accomplir dans la journée. Pour ce faire on peut planifier ses activités et visualiser le flux de tâches pour les heures à venir. Quand on entame cette réflexion, on peut ressentir du stress, ou au contraire de l’indifférence. Se reconnecter à son travail implique d’abord de reconnaître ces émotions et de les prendre en compte, puis de se visualiser en train de réaliser les tâches prévues de manière calme, concentrée et productive. On retrouve ici tout l’intérêt de se fixer des objectifs pour améliorer l’efficacité, la motivation et l’état émotionnel.
Étape “bonus”
Enfin, il est également possible, dans une étape complémentaire, de réfléchir à la manière dont on va utiliser ses forces au travail. Cela fait partie des outils identifiés par la recherche pour s’impliquer plus3 et mieux se reconnecter au travail. L’exercice des forces au travail peut même constituer un outil à part entière. Développer ses forces a par ailleurs bien d’autres bénéfices.
Conclusions
Les divers travaux de recherche confirment donc ce que nous sentons tous, intuitivement. Prendre le temps de réfléchir à ce que l’on fait et pourquoi est indispensable pour retrouver du sens au travail et mieux se concentrer. On évite ainsi de passer en mode automatique, ce qui permet de moins s’égarer en se remémorant son week-end ou en anticipant une soirée en pleine journée de travail.
Quelle que soit votre profession, n’hésitez pas à faire l’exercice de reconnexion proposé dans cet article au début de votre journée. Cela devrait faciliter la transition entre vie personnelle et vie professionnelle, et augmentera votre productivité. De plus, cela aura un effet positif sur votre bien-être et simplifiera votre “déconnexion”, une fois la journée de dur labeur terminée !
Néanmoins, je préfère vous prévenir : cet exercice n’est pas toujours aisé. La recherche note d’ailleurs que la capacité à se reconnecter à son travail fluctue d’un jour à l’autre, notamment en fonction de l’humeur et du niveau d’énergie. Si cette approche vous paraît difficile certains jours, il n’y a donc pas de raison de s’inquiéter. Persévérez, et retentez votre chance le lendemain.
Enfin, reprendre le contrôle ne signifie pas non plus que chacun est intégralement responsable de son environnement de travail. Locaux, collègues, hiérarchie, cohérence des objectifs : tout est loin d’être sous notre contrôle. Nous disposons cependant toujours de marges dans nos relations aux autres, dans la manière dont nous nous organisons ou plus simplement dans le sens que nous donnons à notre profession. Mais si votre satisfaction au travail est fréquemment basse, malgré vos efforts, il est peut-être temps de songer à changer d’emploi, voire d’envisager une reconversion. Pour pouvoir vous situer sur ce point, quelques minutes et un simple test, proposé ici, peuvent d’ailleurs suffire.
Références
Voir les références
- Sonnentag, S., Eck, K., Fritz, C., & Kühnel, J. (2019). Morning Reattachment to Work and Work Engagement During the Day: A Look at Day-Level Mediators. Journal of Management, 1-28.
- Christian, M. S., Garza, A. S., & Slaughter, J. E. (2011). Work engagement: A quantative review and test of its relations with task and contextual performance. Personnel Psychology, 64(1), 89-136.
- Van Wingerden, J., & Van der Stoep, J. (2018). The motivational potential of meaningful work: Relationships with strengths use, work engagement, and performance. PLoS ONE, 13(6), 1-11.
- Wrzesniewski, A., LoBuglio, N., Dutton, J. E., & Berg, J. M. (2013). Job crafting and cultivating positive meaning and identity in work. Advances in Positive Organizational Psychology, 1, 281-302.
- Fritz, C., Yankelevich, M., Zarubin, A., & Barger, P. (2010). Happy, Healthy, and Productive: The Role of Detachment From Work During Nonwork Time. Journal of Applied Psychology, 95(5), 977-983.
- Ozbay, F., Johnson, D. C., Dimoulas, E., et al. (2007). Social Support and Resilience to Stress: From Neurobiology to Clinical Practive. Psychiatry, 4(5), 35-40.
Merci d’être passé(e) sur le site et d’avoir pris le temps de lire cet article ! J’espère que vous l’avez apprécié.
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